Moins d’un Américain éligible sur cinq subit un dépistage du cancer du poumon

L’éligibilité au dépistage a été déterminée à l’aide Normes 2021 du groupe de travail américain sur les services préventifsL’Organisation mondiale de la santé recommande un dépistage annuel du cancer du poumon chez les personnes à risque, c’est-à-dire les personnes qui ont l’habitude de fumer un paquet par jour depuis 20 ans ou plus, qui fument actuellement ou qui ont arrêté de fumer au cours des 15 dernières années et qui sont entre 50 et 80 ans.

L’échantillon d’étude d’environ 26 000 individus se traduit par 13,17 millions de personnes éligibles au dépistage du cancer du poumon dans tout le pays. Parmi ceux-ci, un peu moins d’un cinquième étaient à jour sur les recommandations recommandées. Enquêter. Les adultes plus âgés étaient plus susceptibles de se faire dépister : 27,1 pour cent des participants âgés de 70 à 79 ans étaient conformes, contre 6,7 pour cent des 50 à 54 ans.

Les taux de dépistage du cancer du poumon étaient plus faibles dans le Sud – la conformité dans l’Oklahoma n’était en moyenne que de 10,5 pour cent – ​​où le fardeau du cancer du poumon était également élevé. En outre, l’expansion de Medicaid à l’échelle de l’État a été associée au maintien du dépistage du cancer du poumon existant. La proportion de personnes qui ont adhéré au dépistage était plus élevée parmi les 39 États qui ont étendu Medicaid et ceux ayant une capacité de dépistage plus élevée, ont indiqué les chercheurs.

Les personnes présentant des comorbidités étaient également plus susceptibles d’être à jour dans leur dépistage : environ 25 pour cent des personnes éligibles présentant au moins trois comorbidités ont été dépistées. Les initiatives de l’État visant à élargir l’accès aux soins de santé et aux installations de test pourraient améliorer les taux de dépistage et réduire les disparités, ont écrit les chercheurs.

Le dépistage peut prévenir les décès dus au cancer du poumon, car la maladie est « généralement plus facile à traiter à un stade précoce ». Selon les Centers for Disease Control and Prevention.

Cet article fait partie de la série « The Big Number » du Washington Post, qui examine brièvement l’aspect statistique des problèmes de santé. Des informations supplémentaires et des recherches connexes sont disponibles via des hyperliens.